Les spectacles de l'édition #6 (2016)
Voici tous les spectacles de l'édition 6. Pour visualiser un spectacle, cliquez sur le titre ou l'image.
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Ce solo part d’une problématique personnelle, intime. Quel est le sens de ce que je fais ?
En cherchant une "solution" au "problème", il propose un cheminement d’un questionnement privé à un environnement public, de l’intérieur vers l’extérieur. Il crée une rencontre progressive entre le monde de la danse et celui du quotidien, et propose de redécouvrir l’un et l’autre. Il débute en cherchant un sens, et petit à petit, libère les sens….
Un, deux et trois. On saute ! Il faut bien découvrir des spectacles et se laisser emporter dans ces formes contemporaines. Voici une sélection qui permettra de faire mieux découvrir les arts contemporains. Il y aura de la danse, du théâtre et de la musique au cours de cette soirée.
Mon problème avec la danse contemporaine : Dans un environnement quotidien, Ironie du corps questionne avec humour la (les) place(s) du corps en mouvement dans les différents lieux qu’il traverse. L’idée est de se laisser surprendre, de se permettre de jouer, pour voir les choses autrement, et les reconsidérer sous un autre angle. Parce que le mouvement est partout. Parce que tout est déjà présent. Il faut peut-être juste s’en apercevoir, pour profiter de la poésie du quotidien.
Léonie est en avance : Pas de décor, pas de meubles, pas de costumes d’époque, pas d’accessoires : Feydeau qui s’est fait cambrioler. Ou qui est en instance de divorce, et tout a été saisi par les huissiers pour payer la pension alimentaire. Un vaudeville dans le vide ! Cinq personnages et une voix attendent une naissance. Nous les suivrons dans cette attente, de plus en plus absurde.
Concert Benoit Charron : " Charron nous embarque dans des mondes mystiques où les personnages, en quête
de renouveau et de métamorphose, utilisent toutes les palettes de sa voix pour se faire
entendre." Alternative Pop/Folk.
Léonie est en avance : elle devait n’accoucher que dans un mois, mais les contractions arrivent. Son mari et ses parents sont auprès d’elle pour la soutenir dans cette épreuve. Et la sage-femme a été appelée. Pas de quoi en faire une comédie. Normalement, il n’y a pas de souci à se faire, tout devrait très bien se passer pour la naissance du petit Achille, qui certes veut sortir beaucoup trop tôt, mais qui tarde, pourtant, qui tarde…
Pas de décor, pas de meubles, pas de costumes d’époque, pas d’accessoires : Feydeau qui s’est fait cambrioler. Ou qui est en instance de divorce, et tout a été saisi par les huissiers pour payer la pension alimentaire. Un vaudeville dans le vide ! Cinq personnages et une voix attendent une naissance. Nous les suivrons dans cette attente, de plus en plus absurde.
Grand Escalier participe pour la troisième fois au festival Théâtre En Liberté. Léonie est la première comédie que la compagnie y présente, après une tragédie en alexandrins en 2013 et un drame allemand en 2015. Les relations de couple l’intéressent encore une fois, mais avec un goût nouveau pour la famille et la parentalité, qui seront au centre de ses prochaines créations.
Inspirée du chamanisme hawaïen, 432Hz est une création revêtant de multiples formes, et qui nous invite à envisager que notre vision du monde définit pleinement nos expériences. Des plus infimes sensations, jusqu’à l’infiniment grand. En adressant la question de la subjectivité de notre regard, c’est autant de portes ouvertes sur le monde et notre perception de ses réalités, physiques et spirituelles.
« Le monde est tel que tu le penses, il y a des milliers de façon de voir le monde » IKE
Notre travail repose sur l'interrogation de ce premier principe du chamanisme hawaïen, des questionnements qui en découlent, et de la manière dont les éventuelles réponses peuvent êtres retranscrites au théâtre, pour un théâtre du senti, plutôt qu’un théâtre du compris.
Si notre vision du monde définissait nos expériences personnelles, ne pourrions-nous pas alors prendre le pouvoir sur nos vies ?
Une poupée gonflable. C’est tout ce qu’il a trouvé. Avec elle, il vit une histoire, on pourrait même parler d’une relation, un équilibre factice entre la peur et le besoin…
Il y a un antagonisme intéressant dans la solitude dans lequel chacun, à des degrés divers, peut se retrouver : sitôt qu’on la trouve, on cherche à la fuir, et sitôt qu’elle est hors de vue pendant un certain temps, on a hâte de la retrouver. Le point de départ de ce texte, c’est la part de notre personnalité qui aspire à rester terré(e) au fond d’une grotte et ne plus jamais voir personne. J’ai voulu donner vie à un personnage qui assume l’extrémisme de cette part solitaire, et déterminé à la laisser s’exprimer.
Perplexe( ?), c’est avant toute chose 4 acteurs sur un plateau, 4 égos, 4 personnages en puissance. On leur a donné une
plante, un jouet, des ordures, et quelques informations nébuleuses sur ce qu’ils pourraient peut-être raconter ensemble.
Et on leur a dit : démerdez-vous ! À partir de là, ils tentent de construire une histoire sans savoir laquelle, sans s’être
mis d’accord, et où chacun voudrait avoir le 1er rôle. Les situations s’enchaînent, les parcours s’entrechoquent, la lutte
est sans pitié à mesure que l’on s’enfonce toujours plus loin dans l’absurdité d’un spectacle injouable. Et c’est drôle.
La guerre est finie ! C'est Radio Athènes qui nous le dit. Ce qu'elle ne nous dit pas c'est que les trois survivantes sont enfermées dans une caisse de transport pour être expédiées en Grèce. Dans Rédemption ou l'oubli de la terre plusieurs espaces cohabitent, se court-circuitent et s'entremêlent. Il y a l'atelier d'un dessinateur de BD à Athènes, une caisse de transport sur les rivages de Troie et la formidable Radio Athènes. C'est elle qui nous fait vivre l'actualité de cette fin de guerre. Pour ce qui est des conséquences il faudra regarder ailleurs.
Venez danser, rire et vous amuser avec nous lors de ce moment convivial.
L'aventure de cette nouvelle création a démarré ! Rejoignez vite notre civilisation avant qu'il ne soit trop tard ! Devenez un playmobil !
Créé en 2011, ±4 Fables continue à être représenté dans l'Hérault, avec le soutien du conseil général. De passage dasn 9 médiathèques du département, Daniel Monino a su convaincre le public que les Fables de La Fontiane contiennent plus que ce que l'on croit.
Avant l’ouverture de demain, et depuis mardi soir, les générales de chacun des spectacles, petites formes et performances se sont succédé.
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Adrien Regard a suivi une formation de terrain dans divers secteurs artistiques. Compositeur et auteur, il a créé le projet «QU4TRE» en 2012 qui regroupe musiciens, réalisateurs, metteurs en scène, chorégraphes, acteurs, graphistes, techniciens son et image. Ils réalisent un albumhistoire qui sortira à l’automne 2014.
Photographe officiel du Festival Théâtre en Liberté depuis 2012. Il est acteur au sein de l’Ensemble Esprits Libres et y occupe également la place d’intervenant image/graphisme/son. Pour la deuxième édition du festival il présente une exposition photo sur le thème du Prix de la Révolte inspiré de la pièce de Dimitri Dimitriadis. En 2013 il compose la musique du spectacle N’ayez pas peur du loup créé et mis en scène par Daniel Monino. Cette année il présentera son travail dans le prochain numéro de la revue Le bruit du monde, dans laquelle il occupe la place de rédacteur photo et illustration. Il propose également une fresque pour la pièce de Daniel Monino : Antidote. Par ailleurs, il co-écrit, avec Jean-Charles Guichardot, la musique du spectacle Antigone de Sophocle mis en scène par Jeanne Didier.
Pour la quatrième édition du Festival Théâtre en Liberté il jouera en avant première les morceaux de son album Lettres Aimées à l’occasion de quatre concerts accompagné d’Automne Lajeat (violoncelle), Eden Douwes (basse), Jeanne Didier (flûte-traversière) et de Jean-Charles Guichardot (batterie).
Son site internet
http://www.wix.com/aregard/photography
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